La Taverne du Gobelin Constipé

Poussant la porte ballante de la taverne a l’enseigne rongé par la pourriture. Le bruit lui sauta d’un coup aux oreilles. La salle, grande aux nombres tables poussé sur les coté et avec au centre, assez de place pour permettre aux clients de ce divertir, juste devant une estrade. Sur l’estrade le chanteur d’un groupe orc gueulait ces louanges de guerre, avec des ces raclements de gorges et des ça voie puissance est profonde, accompagné d’une musique imitant plutôt bien le vacarme de la bataille.
Sur la piste les orcs bourinaient de leur cheveux bras est salle, les humains se contorsionner avec les drows a moitié nue.
Aux tables, des assassins attendant des clients, des trafiquants attendant des acheteurs, et même des riches voulant se payer le service d’une des nombreuses catins qui s’exercé mais semblai misérable aux coté des drows trop digne pour s’abaisser au rang de prostitué.
Asghan qui dans le vacarme et l’activité passé inaperçu alla au comptoir qui faisait tout le long de la salle derrière les tables.
Là, un serveur tenté de répondre a toute les commandes sans faire attendre.
Le draconien ne voulant déranger l’homme en pleine activité pris place sur un tabouret qui gémis sous son poids. Il patienta quelques minutes, la musique guidant ces pensé le changeant des chant barbants des bardes.
Alors le serveur se planta devant lui attendant la commande.
-Si vous avez de la liqueur de rose pas trop chère j’en prendrai.
Avec le vacarme ça voie fut submergé et le tavernier soupira visiblement fatigué.*Vous n’avez qua penser, je suis télépathe, j’ai d’ailleurs était engagé pour cela.*
*Alors je prendrai une liqueur de rose, si ce n’est trop chère*
*Je vous la déconseille, elle est hors de pris et dégelasse*
*Ha, alors servez moi une cervoise.*
*C’est déjà plus prudent, croyez moi. Ce sera tout ?*
*Heu… Non , je cherche un emplois, je suis mercenaire vous ne seriez pas me conseiller, je pense que c’est le bonne endroits pour trouver du boulot .*
*Un boulot ! Hm, je vais passez le mot aux serveur, vus n’aurez cas attendre que l’on vous interpelle, mais vérifier votre employeur.*
*Merci*
*Bonne soirée draconien*
Asghan fut quelque peut surpris que l’aubergiste ai pus deviner qu’ils était un draconien, mais si après tout il était télépathe, il avait dut le sentir.
Buvant une gorger de ça cervoise alla s’installer a une table un peu isolé dos au mur face a la porte. Il attendait.

(HRP je propose que cette taverne soit classé en pos-it, pour qu’il n'y ai pas a chaque fois de new topique concernant une taverne 2 ou 3 grand max HRP]
[EDIT ADMIN: classé ]

[HRP a tu une idée des efforts que je fais en postant ton message qui nui a ma taverne *siffle*
Message d'un barde don je préfère ne pas citer le nom HRP]

e groupe finit par céder sa place, les nombreux musiciens quittant la scénette, emportant avec eux leurs instruments. Un instant passa, dans un calme relatif, puis un homme, presque un vieillard, monta l'estrade. Les danseurs le regardèrent poser son instrument, une longue planche bardée de chevilles et de cordes, à plat sur ses jambes pliées. Le musicien réfléchit un court instant, bougea une molette et tira un tiroir. Un long souffle sortit de l'appareil alors que le vieux tournait une manivelle, modulant des sons par-dessus un cliquetis mécanique. De son autre main, le vieux pincait des cordes, tirant une mélodie rapide. Les danseurs tentèrent quelques pas, mais ne trouvèrent pas comment suivre. L'un demanda de ralentir, mais le vieux sourit et accéléra légèrement en prenant une longue bouffée d'air. Son corps parut frémir comme une vieille feuille sous le vent, puis sa voix claire passa par-dessus les conversations, entonnant un chant à la cadence mesurée, étudiée pour que tout soit compréhensible.

"Hé dit Pépé tu trempais dans ta bière un peu toute ton haleine
Tu voyais passer quelques fois les sirènes dans le fond de ton verre
Et tu chantais en coeur avec elles cent mille ritournelles
Et tu chantais, Pépé, en coeur avec elles cent mille ritournelles

Hé dit Pépé t'éclaboussais Belleville avec toutes tes histoires
Le vieux quartier se souvient quelque part du grand large et des îles
Dans le troquet, ça prenait de la place et on buvait la tasse
Dans le troquet, ça prenait de la place et on buvait la tasse

Hé dit Pépé on a jamais trop su si t'étais bien capitaine
En tout cas t'en avais la dégaine les vices et les vertus
On écoutait des nuits tout entières les légendes de la mer
On écoutait des nuits tout entières les légendes de la mer

Hé dit Pépé il nous manque un pilier, le comptoir, il est bancal
Où c'est t'y que t'es passé, elles moussent derrière tes voiles
L'écume des bières Pépé"

L'assistance salut la prestation, alors que le même importunt demandait une cadence plus lente. Le vieillard sourit de plus belle alors qu'il faisait aller ses deux mains sur les cordes, jouant à une vitesse trop grande pour être suivie par des danses traditionnelles et chanta, couvrant les protestations du danseur.

"Il y avait des chansons, des chansons,
Les hommes venaient y boire et rêver
Dans la maison sur le port
Où les filles riaient fort
Où le vin faisait chanter, chanter, chanter
Les pêcheurs vous le diront
Ils y venaient sans façon
Avant de partir tirer leurs filets
Ils venaient se réchauffer près de nous
Dans la maison sur le port

Les volets se sont ouverts et depuis
Les rires des filles se sont envolés
Sous un tube de néon
Un fonctionnaire à lorgnons
Est perdu dans ses papiers, vieux papiers
Que sont devenues les fleurs
Et les lampes de couleurs
Les cheveux de Maria, ses bras nus ?
On dirait que tout est mort et bien mort
Dans la maison sur le port

Pourtant je suis revenu une nuit,
J'avais cru qu'on y chantait comme avant,
Mais les couples qui dansaient
N'étaient plus rien à présent
Que les ombres du passé, du passé
Vainement j'ai recherché
Cette fille que j'aimais
Qui savait aussi chanter et aimer,
Je vous dis que tout est mort et bien mort
Dans la maison sur le port

Ce n'est pas sur mes vingt ans que je pleure,
Bien souvent avec les filles j'ai pleuré,
Mais on aurait pu laisser
Nos chansons dormir en paix
Nos amours et nos amours à Maria
Et aux filles de là-bas
Allons voir pour oublier
Un petit morne

Puisque notre cœur est mort et bien mort
Dans la maison sur le port
Puisque notre cœur est mort et bien mort
Dans la maison sur le port"

Dans la taverne, certains rirent en voyant la tête du pauvre danseur frustré, d'autres continuèrent la conversation sans se soucier du décors...

hrp wéééééééééééééééééééééééééééééééééééééé tu l'as mis lol hrp